Face à la chute de cheveux, plusieurs techniques existent pour retrouver une apparence capillaire plus dense. Parmi les plus efficaces : la greffe capillaire et la tricopigmentation. Bien qu’elles ...
Tricopigmentation et greffe de cheveux : des méthodes complémentaires ?
Lorsqu’on cherche à pallier une perte de cheveux, plusieurs solutions sont possibles. La greffe capillaire et la tricopigmentation se distinguent comme deux techniques efficaces, mais elles sont très différentes. Faut-il choisir entre l’une ou l’autre ? Ou peuvent-elles au contraire être combinées ? Dermopigmentation Center, institut spécialisé en micropigmentation capillaire à Namur et à Marbella, vous éclaire sur ces deux approches et leur complémentarité possible.
Tricopigmentation et greffe de cheveux : quelles sont leurs spécificités ?
Plusieurs techniques permettent de remédier à une perte de cheveux. Parmi les plus répandues : la greffe capillaire et la tricopigmentation du cuir chevelu. Bien qu’elles répondent toutes deux à des problématiques similaires, ces solutions sont très différentes dans leur nature, leurs résultats et leur mise en œuvre.
La tricopigmentation : une solution esthétique, non invasive et réversible
La tricopigmentation, aussi appelée dermopigmentation capillaire, est une méthode non chirurgicale. Elle consiste à injecter des pigments spécifiques dans le cuir chevelu pour créer une illusion d’optique réaliste. Selon les besoins et la problématique du patient, elle peut simuler un effet « crâne rasé » ou densifier visuellement une chevelure clairsemée.
Son principal atout ? Un résultat immédiat, réversible et indolore, qui s’adapte à l’évolution de la calvitie. Elle est également très utile pour masquer des cicatrices anciennes laissées par une greffe.
La greffe capillaire : une intervention chirurgicale pour restaurer durablement la chevelure
En revanche, la greffe de cheveux est une intervention chirurgicale plus lourde. Elle consiste à prélever des unités folliculaires (généralement à l’arrière du crâne) pour les réimplémenter sur les zones dégarnies. On distingue principalement deux techniques :
- La FUT, qui implique l’extraction d’une bandelette
- La FUE qui se base sur un prélèvement d’unités folliculaires individuelles.
Si cette solution contre la calvitie offre l’avantage d’une repousse naturelle des cheveux, elle présente plusieurs contraintes : coût élevé, anesthésie, cicatrices éventuelles, résultat incertain et délai de plusieurs mois avant d’observer l’état final.
Combiner la tricopigmentation capillaire et la greffe : une bonne idée ?
La combinaison de la tricopigmentation à une greffe de cheveux peut être envisagée à deux moments clés : avant l’opération, pour atténuer visuellement les effets de la perte de cheveux. Ou après la greffe, afin d’optimiser le rendu final et masquer les cicatrices post-chirurgicales.
Pourquoi associer les deux méthodes ?
L’association des deux techniques permet d’aller plus loin en optimisant les résultats :
- Cela renforce la densité visuellement: la greffe permet de réimplanter des cheveux sur les zones dégarnies, mais elle laisse parfois des espaces clairsemés. La tricopigmentation comble visuellement ces zones et renforce l’effet de densité.
- Un rendu plus homogène et naturel: les pigments estompent les transitions entre les zones greffées et non greffées, masquent les cicatrices et rendent l’ensemble plus naturel.
- Un duo efficace sur le long terme: les cheveux greffés poussent naturellement, tandis que la tricopigmentation valorise et prolonge le résultat. Ensemble, les deux techniques offrent une solution à différents stades de la calvitie.
Plus d’informations sur la tricopigmentation associée à une greffe de cheveux à Marbella et à Namur ?
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